Highlights of San Antonio Breast Cancer Symposium

07.12.2021 au 10.12.2021 - San Antonio, Texas
Highlights of San Antonio Breast Cancer Symposium

Qu’avons-nous appris que nous ne suspections pas?

Dominique-Jean Bouilliez

Le San Antonio Breast Cancer Symposium (SABCS) est riche en études cliniques. Encore faut-il séparer le bon grain de l’ivraie et détecter les études les plus susceptibles d’apporter un plus au quotidien. Nous nous sommes donc concentrés sur la conférence de presse Highlights organisée par le SABCS

Compte-rendus du congrès

Highlights of San Antonio Breast Cancer Symposium

OlympiA: pas d’impact négatif de l’olaparib

  • 24 février 2022

Les résultats intermédiaires d’OlympiA, qui comparait l’olaparib au placebo en cas de cancer du sein avec mutation germinale BRCA1/2, avaient montré un bénéfice significatif en survie sans maladie invasive pour l’olaparib après un suivi médian de 2,5 ans.

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Plus de symptômes au membre supérieur, mais pas au sein, après chirurgie axillaire: une porte ouverte enfoncée…

  • 24 février 2022

La dissection des ganglions axillaires ne semble pas indispensable en termes pronostiques pour obtenir un bon contrôle régional, contrairement à la dissection du ganglion sentinelle. Mais ce geste est de plus en plus remis en question, notamment parce qu’il altère la qualité de vie et n’améliore pas le pronostic dans certains sous-groupes.

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PHOEBE: une actualisation qui souligne également le bénéfice en survie du pyrotinib

  • 24 février 2022

Le T-DM1, traitement de référence des cancers du sein HER2+, n’est pas approuvé partout en phase métastatique. Le pyrotinib, petite molécule qui cible HER2, HER4 et EGFR, a montré dans des études de phase I et II une belle efficacité en association avec la capécitabine chez des patientes avec cancer du sein HER2+ métastatique déjà traitées par taxane, anthracycline et/ou trastuzumab.

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EMERALD: un SERD après progression sous inhibiteur CDK4/6 dans le cancer du sein métastatique ER+/HER2-? (18)

  • 24 février 2022

L’association d’un inhibiteur CDK4/6 à l’endocrinothérapie est le traitement de référence en 1ère ligne des cancers du sein métastatiques ER+ (estrogene receptor +)/HER2-. Cependant, la plupart des patientes voient leur maladie progresser, notamment en raison de l’émergence de mutations ESR1, une situation dans laquelle l’association fulvestrant + vénétoclax n’apporte qu’une faible amélioration de la PFS.

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Utilité clinique du profilage moléculaire: les leçons de SAFIR02-BREAST

  • 24 février 2022

Pilotée par UNICANCER en France, l’étude SAFIR a effectué chez des patientes avec cancer du sein métastatique HR+/HER2-, résistant à une hormonothérapie, un profilage génomique (tissulaire et/ou circulant) par next-generation sequencing et CGH array, au démarrage d’une chimiothérapie conventionnelle.

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CCTGMA.32: fin d’un rêve pour la metformine?

  • 24 février 2022

On sait que l’obésité péjore le pronostic du cancer du sein et que des taux élevés d’insuline, tels que ceux que l’on retrouve chez l’obèse, sont associés à ce mauvais pronostic. Par ailleurs, certaines études ont pu constater une réduction de l’incidence des cancers du sein sous metformine, que les experts expliquent par une limitation de la prolifération cellulaire des cellules tumorales liée à une contre-régulation de l’axe insuline/IGF-1 et de la phosphorylation de mTOR.

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TROPION-PanTumor01: résultats actualisés de la cohorte TNBC

  • 24 février 2022

Les options thérapeutiques en cas de TNBC de stade avancé ou métastatique ne sont pas légion. Dans la mesure où l’on sait que TROP2 est fortement exprimé dans de nombreux cancers, y compris le cancer du sein, l’étude TROPION-PanTumor01 a été mise sur pied pour évaluer le datopotamab deruxtécan, un anticorps conjugué humanisé IgG1 dirigé spécifiquement contre TROP2.

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KEYNOTE-355: confirmation du seuil de CPS à 10

  • 24 février 2022

KEYNOTE-355, qui avait enrôlé 827 patientes avec TNBC récurrent inopérable ou métastatique jamais traité sous chimiothérapie avec/sans pembrolizumab (2:1), avait montré un bénéfice net en survie sans progression et en survie globale en cas de tumeur exprimant PD-L1 avec CPS > 10.

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KEYNOTE-522: une analyse en sous-groupes de sensibilité qui confirme les bénéfices

  • 24 février 2022

KEYNOTE-522 avait enrôlé 1.174 patientes avec cancer du sein triple négatif nouvellement diagnostiqué pour recevoir une chimiothérapie classique avec/sans pembrolizumab en néoadjuvant pendant 12 semaines suivie par du pembrolizumab ou un placebo en adjuvant.

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